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L'homme regarde la fleur, la fleur sourit. - Ft Kaelyne

Kaelyne A. Wrench
Kaelyne A. Wrench
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☣ ft. : Sakura Haruno - Naruto
L'homme regarde la fleur, la fleur sourit. - Ft Kaelyne Ven 11 Oct - 20:32

Kaelyne Ally Wrench
feat. Sakura Haruno (Naruto)
Nom ⇝ Wrench. Un nom plein de fierté et d’amour, celui des tes parents et de leurs amours Prénom ⇝ Kaelyne, peu commun vous lui direz, et elle sourira doucement en remerciant maman pour ce cadeau. Ton deuxième prénom c’est Ally, d’ailleurs.. Surnoms ⇝ Ely, Ally, Kae, on en a toujours des nouveaux. Age ⇝ 19 ans. Date & lieu de naissance ⇝ 1 Avril 2000, Houston. Métier & Occupation ⇝ Herboriste, tu as appliqué les bases de médecine que ta mère t’a donné à ce que la nature procure. Situation ⇝ Seule, tu es encore persuadée que si tu présentes un homme à ton père, le pauvre va finir avec un poing dans le nez. Orientation ⇝ Hétérosexuelle. Groupe ⇝ Survive.
Es-tu un immunisé ? Oui. Non.
Il y a toi.

Tu es solaire. Tu ris, tu souris, tu chantes, et Bon Dieu, qu’est ce que tu parles. Tout le temps, tu ne t’arrêtes pas souvent, ou alors juste pour reprendre ton souffle ou tes pensées. Ça peut en saouler beaucoup, certainement. Mais tu as un tel bagout et une telle envie de partager tes pensées, tes questions ou tes remarques, que beaucoup finissent par fondre devant toi. Dans le fond, pour beaucoup de citoyens fatigués et harassés, ta parole est une forme de divertissement, parfois même d’espoir.

Il y a ta famille.

La fille de ton père, forte et courageuse. Tu as un caractère trempé, dans une gangue de douceur. Tu es ce genre de fille qui semble calme et fragile, mais qui peut vous empoigner un homme par le col sans prévenir. Tu n’as pas peur des humains, même si tu sais qu’ils ne sont pas tous bons. Tu n’as pas peur de la mort ou de la maladie, même si tu luttes contre. Vraiment, malgré ton jeune âge, tu es sacrément forte, Kaelyne.

Il y a ta nature.

L’intelligence, une caractéristique que ta mère a fait fleurir chez toi. Alors oui, tu l’es, à ton niveau, sur tes domaines. Qu’on te demande comment se battre ou comment remonter une arme à feu et tu risques de secouer la tête négativement parce que tu n’y connais rien. Mais quand on parle de soin, de plante, de compréhension du corps humain, là, on a affaire à quelqu’un d’autre. Tu sais, jeune fille, tu as le nez pour ces choses-là. Parfois, il te suffit de regarder quelqu’un en ville, voir sa démarche, ses crispations de douleur, sentir son odeur, et tu comprends le problème. C’est une inspiration, vraiment. Mais contrairement à ta mère, tu n’as pas la chance de vivre dans un monde qui regorge de médicaments et de médecines, alors tu as fait de ton domaine les plantes. Et t’es vraiment une fille de la nature. Tu puises ta force dans les plantes et dans la verdure.

Il y a ce que tu es au fond.

Une enfant, qui a vu sa mère mourir sous ses yeux. T’es la gamine de l’apocalypse, t’as pas eu le temps de profiter de ta vie que tu étais déjà en plein cauchemar. Et qu’on se le dise, personne ne peut avoir une vie normale avec ce genre de traumatisme. Tu es l’entre-deux, née dans un monde en paix, grandi dans la course contre l’infection, adulte dans un univers de survie inhumain. Ça laisse des traces indélébiles en toi. Alors oui, tu as beau sourire et être solaire, au fond de toi, il y a une zone d’ombre immense. Le souvenir de ta mère est un orage. Chaque marcheur, un éclair. Et l’espoir a été soufflé par le vent de la tempête. Tu le sais, Kaelyne, dans le fond, tu es brisée.

Il y a ce que tu caches.

La peur. La colère. L’envie de te sortir de cet enfer, avec ton père. Le courage, parfois poussé à la témérité. Le besoin, de faire mieux, toujours. De sauver des vies. De trouver ta rédemption. De prouver que tu vaux autant que les autres. Les hurlements retenus la nuit face à tes cauchemars morbides. Les larmes qui te montent aux yeux quand tu vois des familles se rassurer entre elles, se soutenir. La violence, pour chaque fois qu’un milicien vient annoncer la mort d’un des survivants.
FACTS

❀ Tu adores ton père. C'est ton mentor, ton modèle, l'homme qui a été tout pour toi.
❀ Ta mère. Tu n'en parles plus depuis sa mort. D'ailleurs, tu as mis un moment à reparler après sa mort. A défaut de pouvoir en parler, tu cultives ce qu'elle t'a donné et tu le fais grandir.
❀ Même si tu ne te laisses pas faire, si tu ne le fais pas voir, tu as une peur bleue des marcheurs.
❀ Tu parles. Bon dieu ce que tu parles, Kaelyne. Tout le temps, sur tout, avec tout le monde. Tu parles et tu ris. Tu as un sourire incroyable. On se le dit, en ville, personne ne résiste à ton charme solaire.
❀ Tu es végétarienne. Tu détestes voir qu'on tue des animaux. Toi, c'est légumes et fruits !
❀ Il t'arrive encore de faire des crises d'angoisses et des attaques de panique. Tu te détestes quand ça arrive et pourtant...
❀ Tu mens bien. Ça te tue mais c'est vrai.
❀ Si tu adores ton père, tu cherches à échapper à son contrôle de plus en plus. Pas pour lui faire du mal, mais pour lui prouver que tu peux t'en sortir.
❀ Les plantes, on en parle ? C'est ta vie, ton univers. Tu connais tout sur le bout des doigts, tu apprends, tu comprends, tu transposes, tu analyses. Tu as la main verte. Tu est en ville dans la nature et la verdure.
❀ T'as peur des orages. C'est idiot, tu le sais.
❀ Tu chantes aussi, on avait oublié de le préciser. Beaucoup. Ta voix est plutôt agréable.
❀ Ne se sait pas immunisée


Papa et maman s’aimaient. Papa et maman t’aimaient. Et qu’est-ce que tu les aimais toi aussi.
S’il y devait y avoir un “il était une fois” à ton histoire, voilà les premiers mots que l’on lirait. L’histoire de ta vie, de ta naissance et des années qui ont suivi est celle de l’amour. Fille d’un couple incroyable, ton père militaire s’est retiré des forces de son pays pour s’occuper de toi et ta mère, médecin, a fait grandir bien des choses en toi. Et en tête de toutes ces choses dont on t’a couvert, il y a cet amour immodéré et incommensurable. L’amour d’une famille. L’amour d’une vie.

Enfant des années 2000, tu n’avais que 7 ans lorsque la catastrophe a débuté. Tu étais trop jeune, trop naïve et bien trop protégée pour comprendre ce qu’il se passait. Si tes parents semblaient inquiets, tu n’en comprenais pas le sens et tu n’as jamais partagé cette sensation. Au début, tout du moins… Parce qu’avec les mois, ce fut toute ta vie qui changea. Plus d’école, juste ta mère pour t’enseigner ce qu’il y avait besoin de savoir. Et plus de sortie dehors avec des copains, juste ton père qui sortait et revenait sans un mot.
7 ans, ce n’est pas un âge pour vivre l’apocalypse et pourtant, c’est ainsi que les choses se sont passées.

Et puis, on changea de maison. Et tu ne fis que suivre le mouvement, emportant avec toi tes questions. Les réponses disparates que tu obtins ne te donnèrent que d’autres questions et pendant les mois qui suivirent et les changements de lieux imposés par ton papa, ce fut cet esprit critique et logique qui se mit en place. Poser une question, obtenir un embryon de réponses, argumenter dessus, trouver un peu plus d’éléments explicatifs, forcer encore la main. Ta mère, parfois, en riait, alors que tu te mis à asticoter ton père avec encore plus d’amusement.
8 ans, et tu arrivais à trouver un jeu et une construction au milieu de la mort et du danger.

HopeCity, c’est un mot qui vint et revint plusieurs fois dans les discussions entre tes parents. Pour toi, c’était un peu comme ce lieu de vacances dont tout le monde parlait, mais que tu n’avais pas encore la joie de découvrir. Et si pendant de longs mois ce ne fut qu’un mot, un concept, il finit par prendre plus de sens quand ta maman finit par faire changer ton papa d’avis.
9 ans, une vie qui s’était mise en pause et tu allais partir en vacances. En tout cas, c’est comme ça que tu l’envisageais, haute comme 3 pommes.

Le voyage avait été difficile, même si aujourd’hui tu n’es plus capable de dire pourquoi. Parfois certaines scènes reviennent dans tes rêves, et tu comprends qu’une enfant de ton âge ne pouvait pas accepter ça alors elle a tout enfermé au coeur de son petit corps. Mais tu as juste cette sensation, que le chemin fut long, éprouvant et difficile, pour tes parents. Ce qu’il te reste, surtout, c’est l’arrivée en ville.
Tu t’étais imaginé la destination de rêve, comme les quelques cartes postales que tu avais pu voir au cours de tes premières années de vie. Et tu es arrivée dans une ville qui se construisait encore, un bidonville, des gens déchirés, et pour toi, c’était Noël. Parce qu’il y avait d’autres gens, des enfants, des voisins, un peu d’organisation.
Ce jour-là, tu as cru que tu avais trouvé le paradis au milieu de ce cauchemar.

Ensuite, la vie a repris et tu as grandi. Ton papa est devenu un de ces incroyables hommes qui protégeait le quartier. Ta maman a remis son savoir pour le bien commun et toujours accroché à ses jupons, tu as appris les premiers soins avec elle. En plus de continuer ton éducation, elle t’a transmis son savoir médical et elle a répondu avec le plus de précision possible à tes questions.
Les plantes sont devenues une passion au cours de ces années-là. Ça a commencé grâce à ta maman qui avait trouvé de la menthe sauvage et qui avait décidé de la faire grandir pour en tirer des feuilles pour des infusions et du jus pour soigner les rhumes. C’est toi qui as eu la belle chance d’être en charge de Mme Menthe. Et bientôt, tu t’es mise à faire grandir à peu près tout ce que tu as pu trouver autour de chez toi. Et il n’y a pas à dire, tu as la main verte.
De 11 ans à 18 ans, tu as fait grandir tant de plantes que ta chambre était surnommée la serre, et que tu t’es mise à sentir en permanence l’odeur des plantes, la chlorophylle ou les fleurs, selon le moment de l’année.

Et on en arrive au plus prêt de ce maintenant qui te pèse. 2018, l’année de la majorité dans bien des pays, et l’âge de toutes les peines pour toi. Après des années à grandir dans la douceur de ta mère et la force de ton père, tu as vu ton monde s’écrouler en quelques minutes. Tu te vois encore, dans la maison, en train d’écraser un assemblage de plantes de ta composition en expliquant à ta mère que tu voulais l’offrir à une voisine, qui avait des sinusites violentes depuis quelques semaines. Tu entends encore ce silence à ta question, puis le bruit de chute. Tu revois chaque détail du visage déformé de ta mère alors que le marcheur refermait les dents sur sa nuque. Et puis, d’un coup, tu te souviens avoir entendu le hurlement de la foule, du monde, des voisins, des enfants pas loin. Tout qui criait à l’alerte, et juste le visage figé de ta mère qui avait réussi à tuer la créature dans un mouvement instinctif. Et sa crainte.
Le monde s’est arrêté ce jour-là, sur ce regard qu’elle t’a jeté. Qui te hurlait de fuir et de la laisser derrière, mais qui te suppliait aussi de l’aider. Tu es restée là, à la regarder, sans parler, parce que le choc était si violent et si soudain qu’il n’y avait juste plus rien dans ton esprit. Du blanc, et des larmes. L’attente. Et tu t’es vue mourir avec elle, vraiment.
Mais ton père a débarqué au même moment, et s’il a eu la même réaction que toi, il a fini par s’interposer. Il t’a défendu, au péril de sa vie et en achevant le monstre sans âme qu’était devenue ta mère. Ton père, l’homme de ta vie, le héros de ton enfance, le protecteur en qui tu auras toujours foi, venait de se salir les mains du sang de sa femme bien-aimé et de ta mère innocente. Et tu sais ce qui a explosé dans ta tête, à cet instant-là ? Fuyons, vite !

C’est toi qui as réussi à remettre en route ton père. Toi qui l’a guidé hors de la maison et l’as supplié de vous sortir de là. Et ton fabuleux papa a réalisé toutes tes prières ce jour-là. Il t’a sauvé la vie encore et encore, jusqu’à te mettre en sécurité dans le District 1. Il vous a trouvé un endroit où vous réfugier, où vous remettre, où prendre soin l’un de l’autre.
Et si tu t’es murée quelques jours, semaines, dans un silence obstiné, tu as fini par le refouler en toi pour reprendre la vie. Parce qu’un sourire pour cet homme, qui avait sali son âme à jamais, valait bien tous les cauchemars du monde. Et à partir de ce jour-là, Kaelyne, tu n’as jamais pu effacer de ton esprit que tout cela était ta faute. S’il avait commis l'irréparable, ce n’était que parce que tu avais été trop faible. Pour fuir, pour protéger ta mère ou pour la tuer toi-même.

Alors voilà, d’une histoire d’amour, nous terminons sur une histoire de vie et de mort. Ta vie, celle de ton père, et la mort de ta mère. Sur ce besoin de faire mieux. Sur ce choix d’aider les autres comme ta mère le faisait, avec la force et le courage de ton père. Et tu sais quoi, Ely ? Tu échoueras plus, parce que tu ne t’en donneras plus le droit.

Un jour, tu te tiendras aux côtés de ton père et tu te battras à ses côtés, à ta manière.
Pseudo ⇝ Dune.
Age ⇝ 62.
Comment as-tu découvert le forum ? ⇝ L’ange Gabriel est descendu me souffler l’url à l’oreille.
Un dernier petit message ⇝ JE. DETESTE. SAKURA. cdmt.
Silas E. Athanasia
Silas E. Athanasia
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Re: L'homme regarde la fleur, la fleur sourit. - Ft Kaelyne Ven 11 Oct - 21:33

Tu es validé(e) !
félicitations !
t'ai-je déjà dit à quel point elle était parfaite ?
oui ?
et bah je le redis : elle est parfaite.
Maintenant que le cap de la fiche est franchi, tu vas pouvoir te lancer dans le RP, et t'amuser. Pour t'aider à t'y retrouver, voici quelques petites choses pistes.

⇝ Tout d'abord, pense à te recenser ! Ce serait dommage que quelqu'un te chipe ta bouille.
⇝ Si tu ne sais pas vers qui te tourner, n'hésite pas à aller demander un RP.
⇝ Tu peux créer ton journal pour garder une trace de tes liens.
⇝ Si tu en as envie, tu peux te lancer pour une quête pour gagner des points et relever des défis.
⇝ Si ce n'est pas encore fait, tu peux aussi rejoindre le Discord du forum. Le lien se trouve à droite, dans la barre latérale.

Bon jeu sur le forum. L'homme regarde la fleur, la fleur sourit. - Ft Kaelyne 571231553
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